top of page

Nos prêtres et séminaristes décorés pour faits d'armes et héroïsme


M. l’abbé LAURENT, curé de Saint Ay, reçoit la Croix de Guerre « Toujours prêt à marcher, quel que soit le danger, a fait preuve dans de multiples circonstances d’un courage magnifique en ramenant des blessés au péril de sa vie, sou un feu violent. »

M. l’abbé Victor LANE, sergent brancardier au 237e régiment d’infanterie a reçu du général Joffre la Médaille Militaire pour fait de guerre (1916)

M. l’abbé Aristide ANCEAU, clerc minoré du Grand Séminaire d’Orléans, soldat à la 3e compagnie du 131e régiment d’infanterie, reçoit la Croix de Guerre avec palme : « Soldat très crâne au feu. A été blessé grièvement au cours du combat du 22 août 1914. Impotence fonctionnelle de la jambe gauche »

M. l’abbé Léonce BALLOT cité à l’ordre du régiment

M. l’abbé BOUTION, curé de Chaussy, cité à l’ordre du jour « se distingue sans cesse par son courage, son mépris du danger, son complet dévouement ». (8 juin 1916)

M. l’abbé Roger BLANDIN, professeur à Saint Grégoire de Pithiviers, cité à l’ordre du jour et décoré de la Croix de Guerre pour son attitude dans la Somme dans des « conditions périlleuses »

M. l’abbé PÉNILLON, vicaire de la Cathédrale d’Orléans, aumônier militaire reçoit la Croix de Guerre

M. l’abbé BALLOT, décoré de la Croix de guerre. Il eut la main droite broyée dans un combat à la grenade

M. l’abbé VANNIER, élève du Grand Séminaire, cité à l’ordre du jour « excellente conduite au feu. Le 12 septembre [1916] à l’attaque, son tireur ayant été mis hors de combat, a servi lui-même sa pièce, permettant ainsi la progression de son bataillon ».

M. l’abbé Camille THEURIOT, vicaire de Chatillon-sur-Loire, caporal au 31e régiment d’infanterie, décoré de la Croix de Guerre

M. l’abbé Paul FAUVIN, prêtre de l’ordination 1914, caporal-brancardier de la 17e compagnie du 356e régiment d’infanterie reçoit la Médaille militaire et la Croix de guerre avec Palme « Belle conduite depuis le début de la campagne ».

M. l’abbé Edmond FOUCHER, prêtre de l’ordination 1916, décoré de la Croix de Guerre avec Palme. « Brancardier courageux et très dévoué, a été très grièvement blessé le 1er juillet 1915 en faisant bravement son devoir. Perte de la main droite ».

M. l’abbé Joseph PAYEN, vicaire de Saint Paterne, décoré de la Croix de Guerre. « s’est fait remarquer pendant la période du 23 octobre au 10 novembre 1916 par son zèle et son mépris de la fatigue et du danger ; transportant les blessés dans un terrain difficile, sous de violents bombardements. »

M. l’abbé Pierre ISNARD, vicaire de Saint Laurent, au front depuis de la début de la guerre, vient de recevoir la Croix de Guerre en se surpassant pendant les journées de 14, 15, 16 novembre 1917, en procédant à l’évacuation de nombreux blessés dans des circonstances particulièrement difficiles.

M. l’abbé Gaston BERTRAND , prêtre d‘Orléans a donné l’exemple du plus beau courage en procédant à la réfection d’un poste d’écoute dans un secteur particulièrement bombardé. Reçoit la Croix de Guerre

M. l’abbé ROYER, vicaire de Montargis, vient d’être cité à l’ordre du jour et de recevoir la Croix de Guerre avec étoile d’argent pour sa belle conduite. « Royer (Henri) soldat au ….e d’infanterie : Infirmier, blessé en mai 1916, et revenu sur le front à peine guéri, s’est toujours montré très brave et très courageux ; Le 15 décembre 1916, dans un poste de secours avancé, a prodigué avec dévouement ses soins d’infirmier aux blessés, sous un très violent bombardement ».

M. l’abbé ROBERT, vicaire de la Cathédrale, aumônier militaire sur le front depuis le début de la guerre « Aumônier intrépide et courageux, au front depuis le début de la campagne, s’est distingué en prenant part à la relève des blessés au cours des diverses affaires auxquelles le Corps d’Armée a pris part, notamment les 20 et 21 septembre, 20 et 25 décembre 1914, et sur la Somme où il s’est signalé de nouveau les 9 et 10 octobre 1916, accompagnant les brancardiers jusqu’au poste de secours des régiments, réconfortant les blessés et leur donnant les soins de son ministère. » Au QG le 21 janvier 1917

M. l’abbé MAITRE, grand séminariste. « le Colonel Commandant le 173e régiment d’infanterie cite à l’ordre du Régiment : le soldat Maître (André) de la 9e compagnie : Soldat très courageux, qui s’est porté crânement à l’assaut des lignes allemandes le 15 décembre 1916 » Aux armées le 29 décembre 1916

M. l’abbé DEGUFFROY, vicaire de Jargeau, sergent dans une section d’infirmiers : « Sous-officier d’un dévouement absolu, prodiguant ses soins aux blessés, donnant à tous l’exemple de l’abnégation, du courage tranquille et imperturbable devant le danger, en particulier les 9, 10 et 11 mars 1917 »

M. l’abbé GALLIOT, curé de Chaingy, reçoit la médaille d’honneur du dévouement.

M. l’abbé GAUDRAY, vicaire de Cléry, décoré de la Croix de Guerre « Gaudry (Lucien), canonnier-servent, brancardier. Brancardier-Prêtre, venu sur sa demande d’une ambulance dans une unité combattante, y a donné les preuves du plus grand dévouement et du plus entier mépris du danger, ne songeant qu’à secourir les blessés, les réconforter par son calme et sa sérénité ; s’est encore fait remarquer par son attitude au feu dans la journée du 16 avril 1917 »

L’abbé LEJEUNE, curé de Chapelon, décoré de la Croix de Guerre « Très bon brancardier, courageux et dévoué, s’est distingué du 16 au 20 avril 1917, en procédant à la relève des blessés sous un violent bombardement de tout instant. Modèle d’énergie et de bravoure sous le feu. »

M. l’abbé WOLFF, décoré de la légion d’honneur, sous-lieutenant d’infanterie à l’armée d’Orient, gravement blessé aux deux jambes par un obus a dû subir l’amputation du pied droit. Nommé Chevalier de la Légion d’Honneur.

M. l’abbé BOURGEON, vicaire de Meung-sur-Loire. « Albert Bourgeon, brancardier à la … compagnie au … d’Infanterie, courageux et dévoué, s’est dépensé sans compter dans les combats du 16 et 19 avril. »

M. l’abbé TRASBOT, vicaire de Chatillon-Coligny, reçoit la Croix de Guerre et la médaille de la bravoure du royaume de Serbie : « André Trasbot, du …. Bataillon Sénégalais. Infirmier d’élite. A fait preuve d’une bravoure et d’un calme exemplaire en pansant les blessés et en assurant leur relève sous un bombardement des plus violents et dans des circonstances particulièrement difficiles ».

L’abbé POIGET, de l’ordination 1914, nommé Capitaine au cours de l’année 1916 est promu Chevalier de la Légion d’Honneur.

M. l’abbé PICOU, séminariste blessé.

M. l’abbé PASTY, curé de Bordeaux-les-Rouches, qui a fait partie de l’expédition des Dardanelles et de Salonique comme brancardier et en 1917, au front comme aumônier reçoit la Croix de Guerre. En 1918, est décoré de l’Ordre de la Miséricorde de Serbie pour son courage dans l’Armée d’Orient.

M. l’abbé COUNIOU, sous-directeur de l’œuvre de la jeunesse Ouvrière : « Prêtre-soldat d’une classe ancienne, détaché à une formation sanitaire de l’arrière, est venu sur sa demande dans un régiment d’Infanterie, où il s’est fait remarquer par son dévouement autant que par sa modestie. A notamment accompagné de son plein gré les blessés sous un violent bombardement et a été, par son exemple et ses exhortations, d’un grand appui moral. » 4 juin 1917

M. l’abbé BILLEREAU, curé de Crottes, reçoit la Croix de Guerre : Chef d’une équipe de brancardiers qui a opéré dans une zone particulièrement pattue par le feu de l’artillerie ennemis. A assuré la relève et le transport rapide des blessés dans des conditions périlleuses exigeant autant de courage que de sang-froid » 14 juin 1917

M. l’abbé BOUTION, curé de Chaussy « En Pleine action et sous un violent bombardement, a relevé les blessés avec un zèle et un esprit de sacrifice admirable.

M. l’abbé Paul PERDEREAU, élève au Grand Séminaire, originaire de Charsonville : « Soldat mitrailleur très courageux. Le 27 mai, en Champagne, sous un violent bombardement de la position, n’a consenti à s’abriter qu’après avoir nettoyé toutes les munitions de sa section et s’être assuré que tout le monde était prêt pour l’ouverture du feu. 2 blessures, 23 mois de front ».

M. l’abbé COUDRAY, Capitaine, curé de Dry « Au cours de reconnaissances en avant de nos lignes s’est fait remarquer par son sang-froid, son allant et son mépris du danger. Très bon officier. Homme de devoir ». 30 juillet 1917

M. l’abbé GAUTHIER, professeur du Petit Séminaire de Sainte Croix s’est dépensé sans compter, relavant les blessés, ensevelissant les morts, sous les plus violents bombardements ; s’est particulièrement distingué dans les combats et mars et avril, et à l’attaque du 20 août 1917 »

M. l’abbé POIGET, capitaine, Croix de Guerre et Chevalier de la Légion d’Honneur « Très grièvement blessé le 4 juin 1917, par un éclat d’obus, a donné un bel exemple de calme et d’énergie dans la douleur ».

M. l’abbé NOËL , professeur au petit séminaire de Sainte Croix « s’est fait remarqué par son courage et son abnégation pendant la préparation de l’attaque du 20 août et lors de l’organisation des positions conquises, donnant à tous le plus bel exemple d’intrépidité sous les barrages d’obus ordinaires ou toxiques. »

M. l’abbé GODON, élève du Grand Séminaire, attribution de la Croix de Guerre

M. l’abbé Paul DUMUIS, vicaire de Recouvrance, mobilisé dès le début de la guerre, reçoit la Croix de Guerre (1918)

M. l’abbé Georges BOISTARD au cours des engagements du 21 au 28 mars 1918 s’est dépensé sans compter après des blessés. Croix de guerre

M. l’abbé Marcel BURET, ordonné en 1916, soldat d’infanterie “a donné à ses camarades l’exemple de sang-froid et d’énergie ». Croix de Guerre.

M. l’abbé Antoine TOTTI « Modèle de calme et de courage, toujours prêt à aider et à secourir ses camardes, s’est particulièrement distingué comme infirmier, le 30 mars 1918, en portant secours aux blessés » . Cette citation comporte la Croix de Guerre

M. l’abbé Paulin CHÂTELIN, vicaire de Malesherbes, au front depuis le début des hostilités, vient d’être cité à l’ordre du jour et décoré de la Croix de guerre pour sa belle conduite au cours des récentes batailles (28 mai 1918)

M. l’abbé PERROT, vicaire d’Ouzouer-sur-Trézée, infirmier dans une ambulance du front depuis le début des hostilités décoré de la Croix de Guerre

M. l’abbé VERDIER, élève du grand séminaire, Caporal au 52e d’Infanterie « très crâne au feu » décoré de la Croix de Guerre

M. l’abbé Paul BERTHELOT, ancien vicaire de Beaugency, mobilisé depuis le début de la guerre, affecté à l’armée d’Orient depuis plusieurs années reçoit la Croix de Guerre.

M. l’abbé Louis DÉPOND « le 30 juin 1918 a ramené sous un feu intense le corps d’un camarade tué en 1ère ligne ». Croix de Guerre

M. l’abbé Jules BLANDIN, vicaire de Bonny-sur-Loire, aux armée depuis le début de la guerre « Gravement blessé le 11 juin 1918 en entraînant brillamment sa section à l’attaque de la position ennemie » Croix de Guerre

M. l’abbé MOREAU, vicaire de Courtenay, affecté au 150e d’Infanterie reçoit la Croix de Guerre « Toujours à son poste malgré le danger, apportant à tous ses encouragements et ses soins sous les plus violents bombardements ».

M. l’abbé BOUARD, curé de Chatillon Coligny, lieutenant d’infanterie déjà titulaire de la Croix de Guerre est nommé Chevalier de la Légion d’Honneur.

M. l’abbé BRIÈRE sous-lieutenant décoré de la valeur militaire (1918)

M. l’abbé CHENESSEAU, professeur au petit séminaire de Sainte Croix, reçoit la Croix de Guerre. 1918

M. l’abbé Joseph SELLIER, vicaire de Briare, au front depuis le début de la guerre, reçoit la Croix de Guerre (1918)

M. l’abbé HUREAU, M. l’abbé LEBEAU, M. l’abbé RIMBERT, clercs du Grand séminaire d’Orléans décorés de la Croix de Guerre.

M. l’abbé Louis Joseph PÉLISSIER, curé de Combleux, au front depuis le début de la guerre, affecté à un régiment d’infanterie, reçoit la Croix de Guerre avec Palme

M. l’abbé Edmond CHAMBELLAND, clerc du Grand Séminaire, Caporal Fusillier-mitrailleur d’un courage et d’un dévouement au-dessus de tout éloge. Croix de Guerre.

M. l’abbé Alexis AUBRY, professeur à Pont-Levoy, décoré de la Croix de Guerre

M. l’abbé Abel Léon BROSSIER, curé de Sandillon, au front depuis le début des hostilités, d’abord dans une formation sanitaire puis dans un groupe d’artillerie reçois la Croix de Guerre.

_edited.png
Horaires d'ouverture

Lundi, mardi et vendredi

14h à 17h

Jeudi

10h à 12 et 14h à 18h

​

Vacances scolaires

​

Mardi et jeudi

14h à 17h

mercredi

9h à 12h

​

Liens utiles
Par catégories
Par tags
Pas encore de mots-clés.

Ne manquez pas les nouveaux articles

Email

  • Facebook
  • YouTube
bottom of page